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«J’ai commencé à avoir des poils drus sur le visage...» : ce trouble hormonal qui touche autant de femmes que l’endométriose

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TÉMOIGNAGE - Pilosité, prise de poids, stérilité... À 26 ans, Victoria vit avec le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), un trouble hormonal méconnu qui touche 1 femme sur 10 et reste incurable.

« Il y a des regards de jugement qu’on n’oublie pas », se confesse Victoria, ingénieur d’affaire de 26 ans et diagnostiquée avec le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) depuis deux ans. Victoria cumule des symptômes parmi les plus handicapants : une pilosité excessive, une prise de poids « inexpliquée et inexplicable », des troubles intestinaux et une fatigue intense. Ce syndrome, qui est une maladie chronique, touche environ 10 % des femmes en âge de procréer. Soit « à peu près autant que l’endométriose  », explique Maëliss Peigné, chef de service de médecine de la reproduction à l’hôpital Jean-Verdier (Seine-Saint-Denis) et membre du conseil scientifique de l’association asso’SOPK. Malheureusement, jusqu’à 70 % des femmes atteintes dans le monde ne sont pas diagnostiquées, d’après l’OMS.

« J’ai cherché pendant très longtemps, témoigne Victoria. J’ai commencé quand j’avais 20 ans, mais le véritable diagnostic est tombé lorsque j’en avais 24. » Différents symptômes ont alerté la…

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Le Figaro

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