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REPORTAGE - L’autocrate azerbaïdjanais surfe sur la victoire dans le Haut-Karabakh pour encore durcir son règne.
Envoyé spécial à Bakou.
Avant même d’arriver à Bakou, le décor est planté. Pour atteindre la méconnue capitale azerbaïdjanaise, visa indispensable en poche, le transit se fait par le moderne et luxueux aéroport Gueïdar-Aliev, renommé en 2004 en hommage au père du président actuel, Ilham Aliev. Disparu fin 2003, Gueïdar aura pris soin de léguer son siège à son fils, après avoir de facto régné pendant plus de trente ans sur l’Azerbaïdjan, avant et après l’indépendance du pays en 1991.
La découverte de Bakou, plus grande ville du Caucase, frappe par plusieurs aspects. Elle est d’abord une étonnante et baroque concoction visuelle. Le vieux Bakou, avec sa mystérieuse tour de la Vierge qui daterait du XIIe siècle, côtoie les tours ultramodernes des bords de la mer Caspienne. Les «plaza» de standing des grandes avenues à l’allure soviétique cohabitent avec les petites rues verdoyantes, aux immeubles en pierre beige rappelant Paris, influence assumée de la cité pendant le XXe siècle.
L’un des régimes les plus autoritaires au monde
Derrière la propreté…