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Publié le 31 mai 2025 à 20:16. / Modifié le 31 mai 2025 à 20:21. 6 min. de lecture
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Wes Anderson a présenté un tiers des 12 longs métrages qu’il a réalisés à ce jour en compétition au Festival de Cannes. Avec, à la clé, aucune présence au palmarès, comme s’il était impossible de juger son cinéma à l’aune de la production mondiale, tant il ne ressemble à rien d’autre sauf à lui-même. Alors que la Cinémathèque française célèbre ce réalisateur à la puissance visuelle inégalée à travers une grande exposition, The Phoenician Scheme est sorti cette semaine sur les écrans dans la foulée de sa première mondiale sur la Croisette. L’occasion de partir à la rencontre d’une partie du casting afin de savoir ce qui attire tant les acteurs et actrices dans son univers, certains acceptant de simples apparitions, comme ici Willem Dafoe, F. Murray Abraham, Charlotte Gainsbourg, Scarlett Johansson, Benedict Cumberbatch ou encore Bill Murray.
Avant des interviews en groupe, c’est seul qu’on rencontrait Michael Cera, révélé en 2007 par SuperGrave et Juno, un nouveau venu dans la troupe d’Anderson, qui ne cesse de s’agrandir autour d’un noyau de fidèles. Le Canadien incarne Bjorn, un précepteur et entomologiste norvégien au service d’Anatole «Zsa-zsa» Korda (Benicio Del Toro, déjà à l’affiche de The French Dispatch, en 2021), un homme d’affaires trouble dont le quotidien consiste à déjouer des tentatives d’assassinat. Et qui a décidé de faire de sa fille Liesl (Mia Threapleton, la fille de Kate Winslet, elle aussi une nouvelle venue), entrée dans les ordres pour échapper à son destin familial, son unique héritière.
L’histoire ne s’arrête pas là.
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