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Christophe Dickès: «L’Église catholique doit se réformer sans rompre avec son héritage»

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Christophe Dickès. Fabien Clairefond

TRIBUNE - Soixante ans après la mort du Pape Jean XXIII, qui avait convoqué le concile Vatican II mais était décédé avant d’en voir la fin, l’Église est toujours à la recherche d’une nouvelle Pentecôte, analyse l’historien.

Auteur de nombreux ouvrages, Christophe Dickès a notamment publié: Saint Pierre. Le Mystère et l’Évidence (Éd. Perrin, 2021), qui a reçu le prix François-Millepierres de l’Académie française 2022.

Quand le 3 juin 1963, le pape Jean XXIII remit son âme à Dieu, le concile Vatican II qu’il avait convoqué n’était pas terminé. Aux origines de cet événement, il y avait cette volonté de réformer l’Église dans son rapport au monde. Cependant, le pape Jean XXIII n’a jamais vu cet événement comme une révolution. Il lui préférait le terme d’aggiornamento que l’on peut traduire par «mise à jour». Jean XXIII proposait à l’Église d’écouter le monde en étant moins dogmatique et plus pastorale. D’après lui, il était nécessaire de vivre une «nouvelle Pentecôte», terme que l’on utilisa d’ailleurs afin de désigner le concile.

Alors que le soixantième anniversaire du concile a été célébré au mois d’octobre dernier, la question des rapports de l’Église et du monde ne semble toujours pas résolue. Et la Pentecôte…

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