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Le premier cas autochtone de chikungunya, transmis par le moustique tigre, a été détecté en métropole cette année. Cette situation, qui survient après un seul cas en 2024, appelle à la vigilance. Les autorités sanitaires ont rapidement mis en place des mesures, incluant la démoustication et des enquêtes. L’expertise de l’ARS Paca rassure quant à la prise en charge et face à la propagation du chikungunya. Pour plus de détails, consultez les informations ci-dessous.
C’est le premier cas autochtone* de chikungunya détecté en métropole cette année. Un seul cas autochtone de ce virus transmis par le moustique tigre avait été détecté en 2024 en métropole, en Ile-de-France, quand 2023 ne comptait aucun cas. Depuis 2010 la France métropolitaine avait connu une trentaine de cas autochtones de ce virus. Jusque-là, depuis le début de l’année, tous les cas de chikungunya recensés en métropole provenaient de contaminations hors du territoire, essentiellement à la Réunion, cette île française de l’océan Indien frappée depuis plusieurs mois par une épidémie sans précédent depuis vingt ans de ce virus.
Des mesures pour limiter les risques
«Des mesures immédiates sont mises en œuvre pour limiter tout risque de propagation», a assuré l’ARS Paca, en évoquant notamment une démoustication réalisée dans la commune«sur la voie publique et dans les jardins privés situés autour du cas», afin d’éliminer le plus rapidement possible les gîtes larvaires et les moustiques adultes. De même, une enquête en porte à porte va être conduite dans les logements du quartier concerné pour identifier les personnes qui pourraient présenter des symptômes.
200 000 personnes ont été contaminées à La Réunion depuis le mois de janvier
Cette année, l’épidémie de chikungunya, maladie qui se traduit par des fièvres et des douleurs articulaires, a surtout frappé l’île de La Réunion, avec 23 morts, même si elle poursuit maintenant son déclin. On estime que 200 000 personnes ont été contaminées dans l’île depuis le mois de janvier. Si l’épidémie recule franchement à la Réunion, elle poursuit encore sa dynamique à Mayotte, également dans l’océan Indien, où elle s’est déclarée plus tardivement. Selon le dernier bilan, 746 cas ont été signalés depuis le début de l’année, mais ce chiffre apparaît probablement sous-estimé.
*On parle de cas autochtone quand une personne a contracté la maladie sur le territoire national et n’a pas voyagé en zone contaminée dans les 15 jours qui précèdent l’apparition des symptômes.
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