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RÉCIT - Si la France n'a pas choisi de conserver ou de faire construire un grand voilier-école officiel pour former à la navigation traditionnelle ses marins, civils ou militaires, de nombreux pays, comme la Pologne, le Mexique ou l'Indonésie, ont fait le pari inverse.
Bel Espoir II, Belem , la Belle Poule, l'Étoile, Le Français, Bima Suci, Capitan Miranda, Cuauhtémoc, Dar Mlodziezy, Santa Maria Manuela… Dans tous les ports du monde, l'arrivée de ces grands voiliers est toujours une fête. Civils ou militaires, battant pavillon français ou étranger, tous se préparent à jeter l'ancre à Rouen, où leur participation à l'Armada 2023, l'un des plus grands rassemblements de vieux gréements au monde, du 8 au 18 juin prochain, est particulièrement attendue.
Certains, comme Le Français, l'ex-trois-mâts barque danois Kaskelot, racheté en septembre 2018 par France Armement, le Cuauhtémoc, navire-école de la marine mexicaine, ou le Dar Mlodziezy, bâtiment d'instruction de la marine polonaise, également utilisé par l'École supérieure de navigation d'Anvers pour former des officiers de marine marchande, sont de vieux amis de l'Armada. D'autres, comme le Bima Suci, le nouveau navire-école de la marine indonésienne, remonteront la Seine pour la première fois. Tous, en…