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Si plusieurs Drummondvillois ont profité du 1er juillet pour déménager, des dizaines d'entre eux n'ont pas été en mesure de trouver un toit.
Photo : Radio-Canada / Jean-François Dumas
La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.
Au lendemain du grand déménagement, de nombreux résidents du Centre-du-Québec n’ont toujours pas été en mesure de dénicher un toit.
Selon l'Office d'habitation Centre-du-Québec, 62 ménages demeurent toujours sans logement à court terme dans la grande région de Drummondville.
Dans l'ensemble du Centre-du-Québec, ce chiffre grimpe à 82.
Plusieurs ont donc été contraints, pour l'instant, de loger chez des proches, des amis, à l'hôtel ou encore dans un camping.
À Sherbrooke, les cinq personnes seules qui cherchaient toujours un logement en date du 1er juillet ont pu trouver refuge dans les hébergements temporaires de la Ville.
La famille qui était sans toit a aussi pu mettre la main sur un logement.
Déménagements et abandons
À la veille du 1er juillet seulement, la Société protectrice des animaux (SPA) de l’Estrie a admis 19 chats. Nous en attendions seulement huit , peut-on lire sur la page Facebook de la SPA.

La SPA de l'Estrie a accueilli près d'une vingtaine de chats à la veille du jour des déménagements.
Photo : Facebook | SPA de l'Estrie
Les admissions se font sur rendez-vous seulement, mais on reste empathiques envers les humains pour qui la situation est déchirante , soutient la SPA de l'Estrie par écrit.